Danger au pont de Kertch ? De l’usage d’armes nucléaires

Si l’on observe avec simple logique et bon sens l’évolution du conflit entre l’OTAN, c’est-à-dire l’Occident collectif mené par les USA contre la Russie via l’Ukraine, l’on en déduit assez aisément malgré tout ce qui se raconte ici et là, que ce même Occident a perdu cette guerre et même depuis le début, à la fois sur l’aspect militaire mais également économique.

Si maintenant on considère uniquement que le 24 février 2022 comme point de départ de ce conflit, ce serait évidemment une grossière erreur car sa source remonte à minima avec les sanglantes manifestations de la place Maïdan à Kiev entre les 18 et 24 février 2014, organisées par la CIA ce dont le pouvoir américain ne se cache même pas. De cet événement, il en ressortira le reversement du gouvernement légalement élu et la fuite en Russie du Président Ianoukovitch, immédiatement remplacé par Piotr Porochenko, plus conforme aux intérêts des USA et ensuite par l’acteur comique Vladimir Zelenski, autre grand serviteur des intérêts d’outre atlantique sans oublier l’Angleterre et accessoirement des siens.

Depuis cet événement, il n’est pas trop difficile de constater l’attitude de l’Ukraine menée en sousmain par ses sponsors européens et anglo-américains à l’égard de l’ancien empire des Tsars sous forme de nombreuses provocations et autres sanctions économiques. Cette agressivité affichée conduira à l’intervention armée russe, nommée Opération Spéciale Z dont le premier objectif consistait à protéger le Donbass à 90% russophone contre les incessants bombardements mais aussi contre son invasion programmée par l’Ukraine début mars suivant ce qui n’aurait pas manqué d’entraîner un véritable massacre de la population par les unités nazies du régime.

A ce propos, on se rappellera également les défilés bras droit tendu dans Kiev et ailleurs ainsi que la Svastika décorant de nombreux uniformes et véhicules mais également les discours dignes des meilleures heures du régime hitlérien, tout ceci ne s’étant pas constitué tout seul ni spontanément… Quant aux émois de l’Occident, on attend toujours…

A titre de simple réflexion, les USA auraient-ils admis que depuis la frontière mexicaine ou depuis Cuba, par exemple, à un titre ou à un autre, la Russie bombarde sans discernement le sud et la côte ouest de l’Amérique, y faisant en quelques années près de 15 000 victimes, femmes, hommes et enfants ?

De même, à cette frontière, aurait-il été supportable de voir s’installer des laboratoires de biologie militaire, plusieurs bases de formation idem, de grandes quantités de divers armements et autres dispositions dont l’aspect belliqueux ne peut en aucun cas être nié ? A cela s’ajoute quelques milliers de mercenaires opérant sur le territoire dont leur élimination partielle à l’usine Azovstal de Marioupol en mai 2022 montra l’importance d’une organisation criminelle parfaitement structurée.

Même réflexion si de telles dispositions s’étaient déployées aux portes de l’Allemagne ou d’un pays européen comme la France, aujourd’hui ouvertement co-belligérante contre la Russie ?

Ce plan diabolique s’avère désormais parfaitement affiché, tant par l’absence de respect des accords de Minsk que par la fourniture au gouvernement de Kiev de très grandes sommes d’argent mais également d’armements les plus modernes, sans aborder les propos insultants régulièrement tenus tant à l’égard du Président Vladimir Poutine que de la Russie en général.

LA SITUATION AUJOURD’HUI

Néanmoins, de cela tant l’Ukraine que ses supporters occidentaux, non seulement n’ont pas mis économiquement la Russie à genoux comme annoncé dès le début par le ministre français des finances mais il est clair pour ceux qui réfléchissent un peu que la guerre est perdue par ce même Occident collectif.

La division de la Russie en différentes parties comme à nouveau abordé lors de la réunion du 20 janvier 2023 à la grande base US de Ramstein en Allemagne et précédemment annoncée par les politiciens américains, non seulement n’aura pas lieu mais il apparaît de plus en plus que l’effet boomerang fonctionne parfaitement. En effet, si l’on en juge par l’état à la fois économique et social tant de l’Europe que des USA, il n’y a vraiment pas de quoi se réjouir, y compris pour l’avenir qui s’annonce des plus sombres.

Ici encore, sans avoir effectué de savantes études mais juste avec un peu de bon sens, ce n’était pourtant pas trop difficile à prévoir, ceci d’autant qu’à chaque fois que l’Europe s’est attaquée à la Russie, ce ne fut jamais pour son bonheur espéré mais bien pour son malheur.

Désormais, l’Occident collectif et sa mondialisation sont aux abois et l’on ne voit pas très bien ce qui pourrait modifier les choses dans l’intérêt de tous.

Pour mémoire, à chaque fois dans l’Histoire que des empires ont décliné, ce qui est aujourd’hui le cas pour l’Occident, la guerre fut à la fois un moyen pour distraire les peuples des préoccupations du moment, les occuper à autre chose que le quotidien mal vécu mais également pour un régime politique basé sur le capitalisme libéral à outrance comme actuellement, de réaliser d’excellents profits financiers mais évidemment, pas pour tout le monde… Ainsi, pour cet Occident collectif, son intérêt bien compris le conduit désormais à essayer de faire durer ce conflit le plus longtemps possible. Toutefois, ce n’est évidemment pas sans risque car sa fracturation est déjà entamée, telle une Tour de Babel moderne mais durant ce temps la Russie se renforce un peu plus chaque jour qui passe, ce qui est de son plus grand intérêt.

En cet Occident collectif, la nouvelle religion dont la divinité suprême est le dieu argent entouré de ses anges déchus constituant la démocratie, apparaît avoir trouvé ses limites.

UNE ULTIME ACTION DIABOLIQUE ?

Désormais, face à un échec général, l’humiliation doit être évitée mais la situation devient fort délicate car rien ne montre que la Russie, soutenue par la Chine mais aussi par différents autres pays, baissera les bras comme espéré, bien au contraire.

A cela s’ajoute l’échec complet de la grande offensive otano-ukrainienne de l’été 2023 et la suite des événements qui ne montre rien de bon pour le régime de Kiev et ses supporters. Lesquels apparaissent de plus en plus isolés et englués dans leurs propres contradictions comme avec leur propre stratégie, si toutefois il y en a une.

Toute solution diplomatique semble désormais vouée à l’échec car pour cela il serait nécessaire que la confiance règne. Or, ce n’est évidemment pas le cas et les nombreux mensonges et autres provocation occidentales ne peuvent certainement pas inciter l’ancien empire des Tsars à signer quoi que ce soit pour mettre fin à ce sanglant conflit dont en aucun cas la responsabilité ne peut lui être attribuée. Comment dans ces conditions penser un instant qu’un accord pacifique soit respecté alors que le souvenir de Minsk 1 et 2 est encore présent dans tous les esprits…

Plus précisément…

Reste alors pour tenter de sauver la face, une ultime action spectaculaire et fortement médiatisée, naturellement à la gloire de la vaillante armée d’Ukraine. Observant l’actualité, on retient immédiatement que le régime de Kiev annonce régulièrement une surprise pour le Kremlin dès le printemps venu mais aussi la destruction définitive du pont de Kertch qui relie la Crimée à la Russie. Une opération qui ressort comme une obsession, y compris pour nombre de politiciens occidentaux. Suivant cela, ce serait ainsi la porte ouverte à la reconquête de la Crimée mainte fois annoncée. Il est évidemment clair que ce gigantesque ouvrage constitue déjà à lui seul un symbole du renouveau de la Russie ce qui, aux yeux de beaucoup, est parfaitement insupportable.

Toutefois, si l’on veut bien imaginer un bombardement aérien par missiles genre Taurus germanosuédois ou SCALP français, il en faudrait beaucoup pour parvenir à un résultat appréciable, engin fort onéreux et dont bon nombre aurait toutes les chances d’être intercepté par la DCA russe avant d’avoir atteint l’objectif.

Reste alors à imaginer autre chose de beaucoup plus puissant et à ce propos si l’on écoute les sirènes qui se font d’ailleurs de plus en plus nombreuses, voire même qui appellent à bombarder le pays des ours en utilisant l’arme nucléaire, il y a ici matière à s’interroger. En quelque sorte, un peu comme les deux attaques atomiques américaines sur le Japon à l’été 1945 qui mirent fin aux hostilités dans le pacifique. Très affaibli, cela permettait à l’Empire du soleil levant d’abandonner le combat dans l’honneur car victime d’une arme fatale pour lui et aux USA de récupérer la gloire puis de dominer la scène mondiale durant près d’une décennie, c’est-à-dire jusqu’à ce que l’exURSS dispose de la bombe opérationnelle et des vecteurs pour la transporter.

Le pont de Kertch avec vue sur son arche la plus haute, soit 35 m au-dessus de l’eau. Avec 18 km de longueur, il est le plus grand ouvrage d’Europe.

La question qui se pose est alors la suivante : le même scénario peut-il être envisagé aujourd’hui pour tenter de mettre fin au conflit contre la Russie, grande puissance nucléaire et ainsi à l’Occident collectif de sortir la tête pas trop basse d’une situation qui lui est défavorable ?

Tout ceci peut, évidemment, relever de la guerre psychologique mais néanmoins, lorsque l’on observe ce dont fut capable cet Occident jusqu’à ce jour dans le monde, il serait bien naïf de ne pas prêter attention à ce genre de discours dont par exemple, les 500 000 victimes issues de l’intervention de l’OTAN en Irak ayant comme justification de faux arguments. D’autant que l’on peut fort douter d’une saine prise de conscience de ceux qui le diffusent quant aux effets d’une explosion atomique ne voyant là que le résultat, forcément positif, de ce qu’ils attendent d’une telle folie.

Par ailleurs, ces fins stratèges estiment sans doute que la Russie, stupéfaite, voire même tétanisée, se rendrait immédiatement aux exigences hégémoniques des anglo-américains montrant ainsi au monde sa faiblesse. Ici encore, ce serait certainement faire preuve de beaucoup d’ignorance, voire de coupable naïveté.

Remontant l’Histoire pas si lointaine que cela, on se rappellera la piteuses retraite en 1812 de la Grande armée de Napoléon 1er, personnage pourtant si adulé d’une partie des Français et même ailleurs. Une affaire qui coûta fort cher à l’ancien pays des Rois…

Ensuite et plus près de nous, c’est bien au prix d’un flot de sang que l’ex-URSS gagna la dernière guerre mondiale sur le front de l’Ouest et non les Alliés au nom desquels la France fêtera à nouveau le 06 juin prochain, comme chaque année tel un spectacle hollywoodien, le débarquement en Normandie : sous-entendu, partant de là, la victoire sur le nazisme. Un constat qui n’empêche pas le pays de Molière de continuer aujourd’hui à le financer en Ukraine et ailleurs puis à déposer avec force discours mémoriels des gerbes de fleurs aux pieds des monuments aux morts affichant la liste de ses victimes, achevant ces cérémonies par une minute de silence.

Alors, en examinant ce qui précède tout en considérant l’état d’esprit qui règne dans les différents états-majors politiques au sein de l’Occident collectif et la nécessité d’une action spectaculaire pouvant être fortement médiatisée pour la gloire de la vaillante armée ukrainienne, vers quelle réflexion simple et de bon sens l’analyse de la situation peut-elle conduire ?

Bombarder par voie aérienne avec des engins nucléaires un ou des sites stratégiques de la Russie serait parfaitement suicidaire pour le ou les auteurs, même sous faux drapeau. Il en serait de même en Ukraine pour tenter de stopper l’avance des troupes russes.

Il faut donc trouver un lieu et un moment où les conséquences seraient spectaculaires mais pas trop dangereuses pour espérer ne pas risquer le retour rapide du boomerang.

Que reste-t-il alors ? En réfléchissant un peu et suivant le discours récurant des dirigeants de Kiev, cela pourrait ainsi effectivement concerner le pont de Kertch. Non pas par bombardement aérien mais par une action sous-marine, plus difficile à détecter, par exemple le jour de la célébration d’un grand événement en Russie. Toutefois, amener un tel engin en Ukraine ne serait pas banal car nécessairement pris sur un stock de l’OTAN, par exemple, initiative à terme susceptible d’identifier le véritable auteur de l’acte.

En revanche, l’Ukraine dispose toujours d’installations nucléaires en bon état de fonctionnement provenant de l’ex-URSS. Apporter ce même engin en pièces détachées depuis l’ouest puis l’assembler localement serait alors moins compliqué et pourrait du même coup permettre de glorifier le régime de Kiev.

Il suffirait alors d’expliquer aux peuples qu’il s’agit ici, dans des conditions particulièrement difficiles, d’un travail ultra secret des ingénieurs et des techniciens ukrainiens pour leur patrie et autres arguments valorisant. L’origine de l’engin devenant alors difficilement identifiable, cela présenterait au moins deux “avantages”, si l’on peut le dire ainsi…

  • Prétendre que ce n’est pas le seul construit localement de toutes pièces et qu’il y en a d’autres.
  • Justifier d’une reprise en main des hostilités au profit de l’Ukraine comme déjà plusieurs fois promis.

Scénario improbable, inimaginable, voire utopique ?

Il serait pourtant bien naïf d’oublier l’affaire du gazoduc Nord Stream 2 et les bombardements de la centrale nucléaire de Zaporojie, sans complexe aucun attribués aux Russes qui auraient ainsi cherché à s’auto-détruire, ce qui montre à loisir que l’on ne recule devant rien.

LA LOGISTIQUE ET SON EFFET

Si tel devait s’accomplir un tel scénario, une explosion atomique de puissance limitée, initiée sous le pont ou à proximité, aurait comme conséquence d’en détruire une ou plusieurs arches, voire même de déstabiliser les piles de l’ouvrage sur une certaine distance.

Quant aux retombées radioactives, la météorologie locale ayant été préalablement étudiée et le moment choisi en conséquence, tout laisse à penser qu’elles seraient évidemment emportées par le vent vers le territoire Russe mais limitées car l’eau de mer en retiendrait une partie.

L’autre partie s’élevant en altitude avec le champignon, les plus lourds éléments contenus retombant assez rapidement alentour, polluant la zone en conséquence qui deviendrait ainsi inaccessible pour un moment ce qui entraverait toutes réparations. Ensuite, compte tenu du lieu, on peut également estimer que le nombre de victimes serait limité.

Toutefois, s’il s’agissait de la partie terrestre du pont, les dégâts généraux prévisibles seraient sans doute plus importants mais l’affaire paraît plus délicate à organiser.

Quoi qu’il en soit, une telle hypothèse ne peut être écartée car dans la folie ambiante, tout est possible surtout que les élections européennes puis américaines approchant, il est envisageable de voir les mauvais coups augmenter pour justifier, soit des reports d’élections, soit autres astuces afin d’espérer conserver le pouvoir comme d’ailleurs en Ukraine.

Néanmoins, il serait bien surprenant que les stratèges russes n’aient pas envisagé un tel scénario et pris toutes dispositions en conséquence mais une faille est toujours possible. Toutefois, si un tel événement devait se produire, que ce soit au pont de Kertch ou ailleurs en Ukraine, voire en Russie, il n’est pas trop difficile de comprendre que cela signerait immédiatement le début de la guerre en Europe, principalement pour les états ouvertement co-belligérants comme la France, l’Allemagne, la Pologne et l’Angleterre qui seraient aux premières loges.

Quant aux USA, il n’est pas plus difficile de prévoir un prudent repli comme à chaque fois qu’ils se sont retrouvés en difficulté à l’issu de leurs croisades guerrières à travers le monde. Toutefois, cela suffirait-il car désormais le territoire américain est à portée de missiles russes dont les unités spécialisées commencent à recevoir le SARMAT 2.

Une fusée d’environ 210 tonnes affichant une portée de 16 500 km, capable d’emporter à vitesse hypersonique 10 bombes classiques ou thermonucléaires distribuées précisément durant le vol sur les objectifs définis suivant le programme prévu.

Dans la mesure où l’Oncle Sam poursuivrait ses velléités à l’égard du Pays des ours, il serait alors fort probable qu’il soit à terme inscrit sur la liste des pays à neutraliser sans aucune possibilité de protection et pas plus de réplique malgré un arsenal considérable.

Néanmoins, une action locale mettant en jeu l’arme atomique telle que ci-dessus envisagée, serait-elle de nature à entraîner le monde dans une guerre atomique généralisée sur la planète comme régulièrement décrit dans les médias par de nombreux “experts” et autres journalistes forcément bien informés ? Certainement pas car la grande finance occidentale n’y trouverait alors pas son compte et ne serait même plus là pour compter son argent. Il s’agit ici, au moins pour l’heure et tant bien que mal, de la méthode de gestion de la profonde crise traversée par les pays occidentaux dont ils sont les seuls responsables en utilisant la peur quotidiennement injectée aux peuples. Cependant, ceci n’exclut pas pour autant un grand conflit final à venir dans un temps plus ou moins lointain sans mettre pour autant la planète en danger.

Ainsi, dans l’Histoire finissent les empires vieillissants et corrompus. Incapables de se régénérer, ils s’engagent alors dans une grande bataille qu’ils perdent puis disparaissent laissant la place à un nouveau monde. Quant au nôtre en France, il apparaît déjà petit à petit se dessiner à partir de la Russie orthodoxe, voire de la Chine éternelle accompagnant l’Afrique dans son développement avec un monde arabe stabilisé. Dès lors, l’Occident ainsi isolé, fragmenté, très affaibli et abandonné à lui-même sera ainsi conduit sans aucun secours, à gérer comme il le pourra cette profonde crise qu’il aura lui-même initiée.

Rien de nouveau sous le soleil, seuls les moyens ont évolué.

Jean-Marc TRUCHET – Mars 2024

6 Commentaires

  1. Je m’étonne que Vladimir Poutine mette autant de temps à aplatir Kiev.
    Mon entourage, qui se base sur les affirmations du gouvernement disant que la Russie est l’attaquant et l’Ukraine l’attaqué, justifie l’envoi d’armes depuis l’Occident, position hypocrite car ou on fait la guerre ou on ne la fait pas, et de plus ce conflit ne regarde pas les pays européens.
    Il serait bon que M. Poutine soit plus agressif pour que cette guerre cesse, puisqu’apparemment la paix ne peut être négociée.

    • Non le président russe démontre au monde l’ignominie de la communauté internationale et démonte pas à pas la structure financière sur laquelle repose cette pute de communauté internationale.
      C’est la stratégie du boa constricteur.L’occident s’étouffera dans son propre vomis pendant que le reste du monde s’organise dans le développement raisonné des nouvelles technologies au service de la démographie des peuples.
      Relisez les derniers discours de Vladimir POUTINE, et les nouvelles directives du PCC, tout est clairement annoncé.

  2. Réflexion de tout être sensé.
    Pour ma part, je pense qu’il serait logique qu’en cas d’agression suicidaire du mouvement “mondialo-fasciste apatride”: exemple destruction du pont de Kertch par moyen nucléaire de “petite intensité” , de signifier à celui-ci qu’une réponse de même ordre sera immédiatement donnée avant le calendrier électoral occidental en désignant aujourd’hui certaines cibles militaires de style île de Guam, les Malouines….qui dès lors deviendraient d’un point de vue logistique très très complexe à défendre, un point de fixation.Plus il y a de cibles de cette nature, plus cela coûtera …médiatiquement . La Russie contrairement à l’empire anglo-américain tient compte en première lieu de l’Humanité qui n’est absolument pas du ressort de compétence du fascisme anglo-saxon. Dresde , Hiroshima , Nagasaki, les essais de poison sur leurs propre population (n’oublions pas les “peaux-rouges”), les “slaves,” 27 millions de mort pour stopper le fascisme sans avoir pu l’exterminer du moins le contraindre, les drogues de synthèse, la mal bouffe et les médicaments de big pharma ) dernièrement les injections covidiques et actuellement l’extermination “scientifique” du peuple Palestinien (physiquement et surtout extermination culturelle)…n’oublions pas les aborigènes et tant d’autres peuples qui nous le prouvent ainsi que les esclaves réduits à la simple expression de “bétail”, bétail animé aux rythmes de la Vie sur lesquels nous dansons tous. Ces anglo-saxons apatrides ont se nourrissent du Mal qu’ils génèrent depuis presque la nuit des temps en changeant continuellement d’apparance . Actuellement sous forme anglo-saxonne apatride, demain sous une autre forme culturelle et cultuelle par mutation. C’est leur fonction, c’est leur histoire…
    Dites-vous bien que si ces fascistes avec le bactérie qui ne cible que le genre humain s’accrochant à l’âme tournée vers la Création, il y a belle lurette qu’ils l’auraient employée en ce monde. Le truc c’est qu’ils sont génétiquement identiques à nous autres d’où l’impossibilité d’employer cette arme apocalyptique, il y va de leur existentialité, nous on ne compte pas. Ce groupe humain déclassifié en groupe d’homme car leurs âmes ont été anesthésiée à plus ou moins forte intensité par des ondes négatives.
    J’ai l’intime conviction que l’âme russe est parfaitement consciente de tout cette dramaturgie qui se déroulez J’ai totalement confiance en ses agissements pour le Bien de notre Humanité car elle s’apprend toujours plus face à cet ennemi chaque jour que Dieu fait!…pour nous aider. Et là se situe précisément le paradoxe de l’Existent., de l’existentialité.

  3. En Occident, il existe la ferme conviction que la Russie n’utilisera jamais l’arme atomique. En conséquence, l’Occident poursuit sa bataille contre la Russie, financée par les “puissances fortes” dont le siège est à Washington. Ce sont ces “puissances fortes” qui ont financé toutes les révolutions. Macron, Scholz, Meloni, Biden, etc…, ne sont que des figurants, ceux qui tirent les ficelles sont bien d’autres !

  4. Tous ces écrits, c’est bien mais je pense qu’ils ne servent plus à grand chose.
    Nous savons que les américains veulent dominer le Monde comme ils l’ont fait avec les Indiens qu’ils ont exterminés pour leur prendre leurs territoires.

    En admettant que les Russes exterminent les Européens, les américains tenteront ensuite d’exterminer les Russes, ils deviendront les maîtres de toute l’Europe et ensuite s’attaqueront à d’autres territoires pour devenir les maîtres du monde. Nous avons bin vu ce qu’ont fait les milliardaires américains avec le Covid pour commencer le dépeuplement de la Planète à leur avantage !

    A mon avis, l’Europe doit être braquée pour la tenir en respect sous peine de mort et exterminer l’Amérique pour lui éviter qu’elle même extermine le reste de la planète afin de la dominer comme elle l’a fait avec les indiens pour devenir ce qu’elle est.

    Je ne vois pas d’autre solution ….. à méditer !

    Que Dieu aide la Russie à faire le meilleur choix

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