Suite à l’information de la destruction d’un bunker ennemi (de l’OTAN) enfoui à 200-300 mètres dans les environs de Lvov par une frappe de missile Kinzhal, certains ont prétendu que le Kinzhal n’a pas cette possibilité. J’ai donc contacté un de nos lecteurs français, éminent mathématicien:
https://t.me/boriskarpovblog/9317
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En tant que scientifique de haut niveau, pourriez-vous expliquer, concrètement, les conséquences de l’arrivée d’un missile hypersonique “Kinzhal” sur une cible, s’il ne contient aucun explosif.
Energie cinétique, et puissance de destruction. La question principale étant “Peut-il détruire un bunker en béton situé à XXX mètres sous terre”, en faisant varier XXX et la nature de la “terre”: Basalte, béton etc.
Ceci parce que suite à des informations que nous (entre autres) avons diffusé sur un tir de Kinzhal ayant pulvérisé un bunker souterrain et liquidant quelques centaines d’officiers OTAN, certains prétendent que c’est impossible. Je suis bien placé pour savoir que l’info est exacte mais une démonstration mathématique / physique serait idéale!
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Voici la réponse de Jean-Marie ARNAUDIES
Note: Le signe ^ signifie “puissance”. 10^5 = 10 puissance 5 = 100000 (Le chiffre 1 suivi de 5 zéros)
Voici une toute première approche en comparant à la bombe atomique d’Hiroshima
L’énergie E_H déployée par la bombe atomique d’Hiroshima est estimée à 50 térajoules (en abrégé : TJ). Donc E_H=50 x 10^12 Joules= 5 x 10^(13) Joules
Calculons l’énergie cinétique du Kinzhal. Ce missile pèse 4000 kg. Sa vitesse de croisière peut être estimée à un peu plus de Mach10 (estimatioin basse d’après moi). Mais comptons Mach 10 pour nous faire l’avocat du diable, c’est-à-dire pour aboutir à une minoration des énergies en jeu.
On aboutit immédiatement à l’énergie cinétique suivante, en Joules : la formule abstraite est (1/2) M x V^2, où M désigne la masse et V la vitesse. La masse sera estimée en kg et la vitesse en m/s (= mètre à la seconde). On trouve ainsi que l’énergie cinétque E_K du Kinzhal à sa pleine vitesse est donnée, en Joules, par
E_K = 1/2 x 4000 x (10 x 344)^2 Joules = 2,36672 x 10^(10) Joules.
Maintenant il faut estimer les pressions par mètre carré, dans le cas du Kinzhal et dans le cas de la bombe d’Hiroshima.
L’énergie déployée sur son impact par le Kinzhal est aisée à estimer: toute la force du missile se concentre sur au plus un mètre carré. En effet, la surface d’une section du Kinzhal perpendiculaire à son axe est significativement inférieure à 1 mètre carré.
Donc on arrive à une énergie appliquée par le Kinzhal sur un seul mètre carré à son impact avec le sol égale ou supérieure à 2,36672 x 10^(10) Joules.
Mais l’énergie de la bombe A d’Hiroshima s’est exercée sur bien plus d’un mètre carré. Cette énergie a tout carbonisé sur une surface correspondant à un disque de 600 m de rayon. La bombe n’a pas creusé un grand trou, car l’explosion initiale a été essentiellement aérienne, même si c’était près du sol. 600 m de rayon, cela fait 1130976 mètres carrés. Pour satisfaire le diable, ne comptons que 10^6 mètres carrés. Au centre supposé de ‘l’explosion, la température a été de l’ordre de 6000 degrés Celsius et à 600 mètres, elle a encore été de l’ordre de 1300 degrés Celsius. Si on réduit la zone à 400 m de distance du centre, on voit que la température à 400 m du centre a été supérieure à1600 degrés Celsius sur une superficie de plus de 500 000 mèters carrés.
Admettons que toute l’énergie de la bombe d’Hiroshima se soit exercée sur ces 500 000 mètres carrés. A l’intérieur de ce périmètre, très peu de métaux ont pu résister à une fusion complète ( température de fusion du fer =1528 degrés Celsius). On peut estimer que la pression s’est exercée en moyenne sur ce périmètre, ce qui va donner une minoration extrêmement pessimiste.
Donc chaque mètre carré de cette zone de 0 à 400 mètres du « centre » de l’explosion aura enduré au pire une énergie de la bombe A d’Hiroshima supérieure ou égale à (5 x 10^(13)) Joules divisé par 500 000, soit 10^8 Joules, ce qui nous donne l’énergie suivante, notée P_H :
P_H= 10^8 Joules.
Il en résulte que l’énergie E_K subie par l’impact du Kinzhal à son contact avec le sol est
2,366672 x 10^(10) Joules
sur un mètre carré, donc E_K est plus de DEUX CENT FOIS SUPERIEURE à l’énergie par mètre carré du centre principal de l’explosion d’Hiroshima.
Il y a en plus une grande différence entre la bombe A d’Hiroshima et le Kinzhal : la dévastation d’Hisroshima a été essentiellement superficielle, car la bombe n’a pas explosé suite à un impact avec le sol, tandis que le Kinzhal avec son nez pointu a exercé toute son énergie cinétique dans une seule direction, pour se creuser un chemin depuis la surface jusqu’à ses profondeurs. Donc la dévastation subie par l’effet du Kinzhal a été plusieurs centaines de fois plus forte sur le mètre carré de son point d’impact que la dévastation sur chaque mètre carré de l’hypercentre des effets de la bombe A d’Hiroshima.
Cela signifie que la force du Kinzhal à son contact avec le sol a été DINGUE, sans aucune mesure avec celle produite par la bombe A d’Hiroshime sur chaque mètre carré de son hypercentre. Sur deux ou trois cent mètres de profondeur, la croûte terrestre est archimolle face à des énergies par mètre carré de cette envergure. Cette force du Kinzhal à son contact avec le sol dépasse l’entendement !
On vérifie cette appréciation en comparant avec les carottages du sol effectués dans les recherches pétrolières. On creuse des trous atteignant 3000 m de profondeur sans pour autant avoir besoin d’un Kinzhal ! Donc que ce soit du granit ou de la marne dense et mollassonne, pour un Kinzhal, creuser un trou de 200 ou 300 m de profondeur est une amusette !
Dans cette étude dont vous voudrez bien excuser la brièveté, je n‘ai tenu aucun compte d’une éventuelle charge (nucléaire ou non) portée par le Kinzhal. Si une telle charge lui est ajoutée, lors de l’impact avec le sol, cette charge va DIMINUER la profondeur maximum du boyau créé par le Kinzhal, car cette charge exercera ses effets dans toutes les directions, donc agrandira considérablement l’ouverture initiale du trou creusé par le missile, ce qui diminuera la force de l’impact par mètre carré.
La marge semble tellement énorme que cette remarque doit permettre aux militaires d’affiner l’effet du Kinzhal : si on recherche une cible profonde, disons supérieure à 300 mètres de profondeur, il faut régler la charge explosive portée par le Kinzhall de façon qu’elle n’explose que lorsque le Kinzhall aura atteint la profondeur voulue. Pour une cible très profonde, même pas besoin de charge ! en revanche pour une cible peu profonde, disons moins de 100 m de profondeur, on peut régler la charge explosive du Kinzhal pour qu’elle explose quelques centièmes de seconde après le contact du missile avec le sol.
Cette très brève et très approximative étude me convainct que tant que les russes auront de l’avance sur les USA en matière de missiles à très grande vitesse, les Kinzhal avec ou sans charges nucléaires et leurs descendants feront échec à tous les armements US imaginables, atomiques, voire thermonucléaires ou non. Si j’avais du pouvoir, je demanderais à mes savants de faire le maximum pour augmenter ette énorme vitesse. Par exemple, si on passe à 20 Mach au lieu de 10 Mach, l’énergie au contact du sol sera multipliée par 4 et si on arrive à Mach30, alors l’énergie au contact du sol sera presque 10 fois supérieure, ce qui montre qu’alors aucun abri souterrain ne sera plus possible pour l’ennemi (l’avantage du Kinzhal sera alors de l’ordre de milliers de fois plus de force au contact du sol que par un armement nucléaire ou thermonucléaire). Il me semble donc vital pour la Russie qu’elle appronfondisse et augmente cette avance au maximum et surtout, qu’elle fasse tout ce qu’il faut pour éviter que la trahison aide les USA à fabriquer eux aussi des missiles du type Kinzhal.
Jean-Marie ARNAUDIES
Je pense que ceci clot définitivement la discussion sur l’ “impossibilité” du Kinzhal de détruire un bunker enterré à 200-300 mètres…
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Si cette arme russe est en tout remarquable, il ne faut pas s’arrêter en chemin ,mais considérer que l’adversaire est en possession des mêmes capacités offensives.
Le problème de la détection est alors posé de l’utisation de la même arme par l’adversaire : comment prévenir ,contrer , neutraliser un missile ennemi volant à Mach 10,Mach 20 ……Aporie?
Utopie , mais recherche en cours sans aucun doute.
La Russie a quelques longueurs d’avance?
J’ai bien aimé la présentation de M.Arnaudies et je suis tout à fait d’accord.
Il y a un petit plus, connu en mécanique, qui n’apparait pas dans l’exposé et auquel je pense, c’est que la force exercée a constitué un “poinçon” , ce qui signifie que le Kinzhal n’a pas besoin d’aller jusqu’au bunker, mais que la pression exercée par l’énergie du Kinzhal peut constituer un poinçon et écraser le bunker. Or, selon les dégats et les décombres j’opterai plutôt pour cela.
@Lepast Tout à fait d’accord avec cette remarque.
Si on affine la discussion, la remarque est à géométrie variable.
Certaines sources disent que le bunker était à 300 m sous terre, d’autre disent seulement 100 m.
Si c’était 300 m, la remarque s’applique avec un haut degré de probabilité. Si ce n’était que 100 m, il est probable que le kinzahl soit arrivé au moins à cette profondeur-là.
Mais l’un n’empêche pas l’autre.
Quand le kinzahl arrive à ces vitesses supérieures à 10 mach, il se forme autour de lui un plasma, qui augmente son pouvoir de perforation initiale.
Les seules critiques pertinentes sont essentiellement celles qui prévoient que ces armes seront tôt ou tard maîtrisées par les USA. La Russie possède pour l’instant une avance, la chiffrer est
délicat.
Citation :
Prépare le meilleur, prévois le pire, et attends-toi à être surpris.
Les russes n’ont pas besoin de moi pour savoir tout cela bien mieux que moi. Mais estimer la durée de la fenêtre pendant laquelle ils ont de l’avance est un cauchemar.
L’Occident mène une politique qui consiste à réduire drastiquement le nombre d’habitants des peuples qu’il contrôle, espérant ainsi augmenter de façon dingue la puissance de leurs oligarchies mondialistes. Il n’hésite pas à détruire des capacités d’instruction publique, à écraser des puissances industrielles et des économies entières, à augmenter partout la mort, la pauvreté et les souffrances.
Mais ce ne sont que des humains comme les autres qui appliquent cette politique. Cette stratégie ne repose donc que sur un pari hasardeux.
A mon humble avis, ce pari sera perdu. Ce n’est pas une croyance sentimentale, c’est le fruit d’une réflexion froide.
Il faut lire et relire les théories de Eysenck. Le génie humain se comporte au cours des générations de façon stochastique de la manière suivante : les génies sont des excroissances anormales réparties aléatoirement dans les arbres généalogiques, après quoi, le cours des générations revient à la moyenne jusqu’à l’anomalie suivante que sera la naissance d’un nouveau génie (théorie du retour à la moyenne). Donc en réduisant le peuple, on réduit nécessairement la fréquence de l’apparition de nouveaux génies. Or il ne faut pas se leurrer, les avances formidables qui ont prodigieusement transformé notre sort depuis l’Antiquité sont dues à un petit nombre d’individus, dont il nous reste aujourd’hui les noms les plus connus. Il n’y a pas eu deux Newtons, deux Henri Poincaré, deux Rutherford, deux Edison, deux Laplace, etc. Donc la réduction des populations va réduire les exceptions, et cela devrait donner un avantage aux ennemis des mondialistes. La régulation des naissances se fera sans violence partout sur Terre mais surtout, sans tuer pour réduire tout de suite les populations. La stratégie mondialiste risque si elle se poursuit, d’aboutir à un avenir de planète des singes…..du côté occidental !
sauf qu’en Russie, la natalité n’est pas terrible non plus
mais ils ont un beau pays, des dirigeants intelligents qui les aiment tous, un espoir illimité avec leur immense pays plein de ressources ; on leur inculque les éternelles valeurs classiques sottement délaissées et méprisées en Occident. En plus si les choses s’aggravent en Occident, les russes auront de quoi siphonner à leur profit tout ce qu’il y a encore de valable dans la jeunesse européenne. Ca n’aura rien à voir avec l’organisation de cette immigration-invasion inhumaine que nous imposent les mondialistes dans le seul but d’en finir avec l’Europe. Et ces idiots d’européens qui ne trouvent même pas la force de se défendre contre ces horreurs…..
Ah j’oubliais ! les russes n’ont pas empoisonné leur jeunesse ni leurs citoyens de tous âges avec ces ignobles impardonnables vaccinations forcées, dont le seul but était de réduire les gens à l’état d’esclave tout en réduisant la population à un rythme assez modéré pour éviter soigneusement toute révolte de masse.
Vous allez gagner avec les états unis du nouveau monde que vous allez mette en route. Vive la Russie éternellement, et même après l’éternité avec son sourire sincère
Les médias UE ont peur d’en parler , car ce serait affirmer que la Russie est supérieure à l’OTAN ! Que faisaient ces officiers US, Canada, Pologne en Ukraine ? C’est bien la preuve que c’est une guerre USA contre la Russie, par procuration , bien à l’abri chez eux , loin de tous risques, pour affaiblir la Russie, pour garder leur hégémonie mondiale , pour maintenir la main mise sur l’UE comme le craignait le Gen de Gaulle à l’époque et pour faire fonctionner leur économie qui était au plus bas ( armement et GNL ). C’est vraiment scandaleux .
Merci, Monsieur Jean-Marie ARNAUDIES, pour cette belle et claire explication, qui fait honneur à l’école française de mathématiques.
Merci à vous, Monsieur Boris KARPOV, pour cette publication.
Cette lecture donne à penser que les mathématiques ont toujours, dans leur essence, quelque chose à voir avec la beauté, même lorsqu’elles portent leur regard sur les capacités d’un missile Poignard.
Les mathématiques sont dans la beauté et nous ne le savons généralement pas…Le nombre d’or est le référant à la beauté !
çà doit faire des dégats sur une centrale nucléaire, malgré les mètres de béton entourant les réacteurs….
Selon moi, cette étude est fallacieuse !
En effet comparer de l’énergie cinétique certes très importante avec celles générées par une arme nucléaire est à la limite indigne d’un scientifique soit disant de haut niveau.
On fait dire aux chiffres ce que l’on veut et que le lecteur accepte d’entendre…
Les destructions causées par les armes nucléaires sont le résultat de l’échauffement certes bref mais fantastique, plusieurs millions de degrés C, au point de l’explosion. Il en résulte avec l’effet thermique qui détruit tout ou presque dans cette zone deux vents très puissants, l’un « aller et l’autre retour » dus à la dilatation de l’air. A Hiroshima ils ont été évalués à 400 Km/h… je vous laisse imaginer une arme de plusieurs mégatonnes…
Je ne néglige pour autant pas la létalité de ces missiles…
Très cordialement
IL FALLAIT UN POINT DE COMPARAISON, MAIS LE BUT DES EFFETS PRODUITS PAR LE MISSILE EST TRES DIFFERENT.
Si le repaire souterrain de l’OTAN n’avait pas été gravement endommagé (au point d’avoir tué des dizaines de personnes, comme le soutiennent les russes), et si j’étais un des grands chefs de l’OTAN, je m’empresserais de diffuser dans le monde entier des photos et des vidéos prises ces jours-ci dans cette forteresse, avec tous leurs occupants en bonne santé, quitte à leur faire porter des loups pour respecter leur anonymat. Et je prendrais un huissier assermenté, que j’irais chercher en Russie chez M. Poutine, de préférence chez ses rares opposants, pour descendre avec moi par l’ascenseur qui existerait forcément pour se rendre dans ce bunker. De nombreuses méthodes permettent de mesurer la profondeur dans le sous-sol à un endroit précis (l’une d’elles est fondée sur la mesure de la température ambiante).
Quant à Pierre, au lieu de développer des pseudo-arguments avec une inutile agressivité, il ferait mieux de se demander pourquoi les explosions atomiques souterraines que l’on déclenche entre 500 et 1500 mètres de profondeur causent à peu près zéro dégâts en surface, où seuls de bons sismographes permettent de les déceler.
Je voudrais aussi rappeler à Pierre que les savants russes, aujourd’hui, sont en tête dans le monde dans de nombreux domaines, où ils devancent jusqu’aux japonais. Pour ne citer qu’un cas, à l’heure actuelle, on n’a pas terminé d’expliciter l’oeuvre d’Igor Shafarevitch, à la fois physicien hors pair et mathématicien génial.
Pierre ne comprend visiblement pas le monde actuel. Un autre exemple, qui passe inaperçu, hélas, montre le terrible retard qu’est en train de prendre l’Occident, à une vitesse inquiétante, dans le seul domaine qui compte : celui de l’intelligence (il est vrai que le covidisme, la chute libre du niveau de vie, la censure et l’abrutissement public en cours en Occident ne contribuent pas à augmenter son QI moyen).
Cet autre exemple concerne la Physique des plasmas. Les chinois, il y a quelques mois, ont réalisé une prouesse hélas passée sous silence. Ils ont maintenu pendant bien plus d’une heure, dans un tokamak bâti par eux, un plasma à plus de 100 millions de degrés Celsius. Le record mondial précédent ne dépassait pas une minute. C’est donc une avancée prodigieuse, qui laisse à penser qu’un jour, on va peut-être se réveiller en apprenant que la Chine aura construit la première unité expérimentale de fusion thermonucléaire contrôlée. Ce jour-là, s’il advient, il sera trop tard pour l’Occident, et l’impact sera infiniment plus terrible que la dédollarisation en cours.
Je suis désolé, mais la température d’une explosion atomique classique sa puissance totale importe assez peu dans cette discussion) n’est nullement plusieurs millions de degrés Celsius comme vous l’affirmez.Elle st entre 6000 et 7000 degrés Celsius selon les auteurs. Autrement dit, la température moyenne qu’on estime régner sur les couches externes du soleil. Ce n’est pas rien mais ça n’a rien à voir avec des millions de degrés Celsius.
Ces très hautes températures, comptées en millions de degrés Celsius, ne se trouvent que dans des plasmas.La température est une entité macroscopique, i.e. au niveau infra-atomique, ce n’est pas une notion fractionnable au niveau d’un seul atome. On oense qu’au centre des soleils, de telles températures existent, mais enfin tout cela n’est que déduction, et non vérification expérientale. Sur notrev bonne vieille Terre, on sait créer des température au-dela à 100 millioins de degrés Celsius, mais cest dans des plasmas dont le confinement est un problème à cejournon maîtrisé, etc es températures ne durent donc pas longtemps. Le maximum de durée était autour d’une minute, mais les chinois ont réussi un confinement de plus d’une heure, en tout cas ils l’affirment.
Pour revenir aux centrales nucléaires,à ma connaissance, on ne connaî que deux ytpes d’explosion POSSIBLES (et qui se sont produites réellement)
1) les couvercles de réacteurs qui sautent comme celles des cocottes-minutes, i.e. sous l’effet aujourd’hui banal de la pression intérieure engendrée par une surchauffe. C’est par exemple ce qui est arrivé à Tchernobyl, sauf erreur de ma part. Il ne faut pas s’imaginer que ces température sont hautes : dans un réacteur de centrale nucléaire, la température intérieure en fonctionnement normal est relativement basse, moins de 1000 degrés Celsius.
2) les srchaffes de réacteurs qui ont dégagé des quantités d’hydrogène, qui, lui, explose assez vite, mais au coeur dee s ces explosions, la température ne casse pas trois pattes à un canard : moins de 2000 degrés Celsius.
Dans les deux cas, ce qui fait la catastrope, c’est la radioactivité du réactuer libérée qui se répand parfois de façon létale jusqu’à ces de centaines de mètres du réacteur Cela s’est produit à Thernobyl.
A Fukushima, deux réacteurs ont dégagé de l’hydrogène, quia rapidment explosé.Un troisième tréacteur a été incendié. Dans les deux cas il y a eu émanation de radioactivité létale, mais dans le cas de Fukushima cela n’a tué personne car cette radioactivité a concerné l’eau, ce qui a pollué la baie pendant des mois. Les18000 morts déplorés suite au tsunami à l’origine de la catastrophe de la centrale sont tousn des victimes non de la centrale mais tout bêtement du tsunami (zéro mort par l’atome). Ce tsunami a ravagé plus de 600 km de côte de Hondoavec entrée dansla côte sur plusn de 10 km; certaines station,s ayant unen profndeur jusqu’à 30 m.
Super les matheux ! Quant à moi avec mon calcul mental, la seule chose qui pourrait émouvoir mes neurones de calculateur d’ardoise et craie, c’est l’annonce qu’un de ces jolis bijoux avec ses Mach, ses Joules et tout le toutime a dispersé “façon puzzle” le magnifique parlement de Bruxelles. Mais bon, je suis un peu primaire !
En tout cas… Hourra !
ok pour les calculs d’energie cinétique, c’est du niveau lycée. mais j’attends toujours le bon argument pertinent et probant pour démontrer qu’un missile peut atteindre 200 m de profondeur.
Expliquez nous donc pourquoi il s’arrêterait dans sa “percée”, tant qu’il a de l’énergie?
Les amerloques doivent faire dans leur froc. Et en définitive, pauvres ukrainiens !
J’espère de tout cœur que la Sainte Russie et son Président Vladimir Vladimirovitch Poutine vont écrasés le bouffon de zelensky et l’envoyer en Enfer , j’ai honte quand je vois notre gouvernement et tous les politiciens français soutenir le régime nazi ukrainien et d’accuser la Russie de tous les crimes . Vive la Sainte Russie et son Président Vladimir Poutine.
Merci pour le poids (4 tonnes) et le plan en coupe . Autres articles à diffuser :
Amiral croate Davorin Domazet et les missiles russes MHD: https://www.aubedigitale.com/pourquoi-les-armes-hypersoniques-changent-tout/#comment-4626
Idem sur les missiles russes MHD: https://fr.sott.net/article/42071-Sommations-hypersoniques & https://www.dedefensa.org/article/sommations-hypersoniques
pour un bunker “désintégré” quid de la réaction de la croûte terrestre ? (gaz de schiste aux USA)
Merci M. Arnaudies. Explication très précieuse qui démontre une fois de plus, la fiabilité de la parole russe. Dans ce conflit, il est reposant de savoir qu’un des belligérant est la Russie. Avec elle, on a des chances d’éviter l’impensable.
Si Zélinsky n’a pas encore compris qu’il a pactisé avec son pire ennemi, c’est vraiment dommage pour lui, et surtout pour son peuple. Sa prise de conscience n’est peut-être pas si lointaine….
Si personne n’a pu en parler c’est que les deux parties ne vuelent pas rentrer en guerre ouvertemenet face a face. Au debut de la guerre les Russe ont perdu un bateau et bien les Russes ont dit que cela venait de la salle de munition, mais en realite c’etait une torpille dirrigier par satellite de l’Otan
Avis aux autistes de l’otan et des usa. Les chiffres parlent d’eux mêmes.
Qui pourrait nous faire la même démonstration avec le missile sous marin Poseidon ?
Magnifique démonstration! Quoique je n’aie jamais douté de l’efficacité de ces armes, ça va mieux en expliquant. Enfin: oui, il est très important de protéger ces découvertes, j’imagine les attaques de frelons espions sur la ruche militaro-industrielle russe. Merci beaucoup.
La France à coté des Russes c’est un tout petit pipi de chaton ! Qu’en pensent mes “frères” ?… veulent-ils toujours rester dans L’Europe et donc dans l’OTAN ??? Laissons les Russes tranquilles et nous ne risquerons rien !!!
TANT MIEUX ! LES RATS, DEVRONT SE TENIR TRANQUILLE UN MOMENT !
Il faut vraiment avoir de grands a priori contre les russes pour penser qu’ils mentent lorsqu’ils annoncent qu’un Kinzhal a été chercher à 300 m sous terre la fine équipe multinationale qui s’y croyait à l’abri ! Surtout quand on sait qu’il existe tout un tas d’instruments qui pourraient prouver l’inverse si c’était le cas.
Merci à monsieur Jean-Marie Arnaudies pour ses explications.
Si le missile Kinzhal qui avait détruit un bunker des OTANO Kievien où 300 officiers de l’OTAN ont été tués n’a pas fait tilt dans le cerveau des Bellicistes OTANO Kievien pour arrêter le massacre c’est qu’ils n’ont toujours pas compris. Le Kinzhal c’est un sacré missile hypersonique et ultra moderne qui fait des dégâts et puis les Russes sont intelligents.